170 Venez, enfants de Dieu
1. Venez, enfants de Dieu, venez peuple fidèle,
Faisons en ce beau jour éclater notre zèle,
Célébrons de concert le repas solennel
Qu'institua pour nous le Fils de l'Éternel.
2. La veille de sa mort, Il établit la Cène ;
Il veut, tel est l'esprit de sa loi souveraine,
Que de sa table sainte et le pain et le vin
Retracent à nos cœurs ses tourments et sa fin.
3. Ainsi, Seigneur Jésus, ta dernière parole
Nous calme, nous instruit, nous touche, nous console ;
Tu montres à nos yeux dans ce saint sacrement,
De ton amour pour nous le plus beau monument.
4. Comme à nos corps le pain offre leur nourriture,
Ton corps rompu pour nous, manne céleste et pure,
Rend la force à notre âme et remplit notre cœur
Du consolant espoir d'un éternel bonheur.
5. Non contant de subir, pour racheter mon âme,
Une cruelle mort sur une croix infâme,
Des biens que tu promets aux élus dans les cieux,
Tu m'as laissé, Seigneur ce gage précieux.
6. Je viens le recevoir, cet ineffable gage ;
Je veux, brûlant de zèle, en faire un saint usage
Et, m'élevant à toi, Seigneur, pour te bénir,
Célébrer de ta mort le touchant souvenir.
Faisons en ce beau jour éclater notre zèle,
Célébrons de concert le repas solennel
Qu'institua pour nous le Fils de l'Éternel.
2. La veille de sa mort, Il établit la Cène ;
Il veut, tel est l'esprit de sa loi souveraine,
Que de sa table sainte et le pain et le vin
Retracent à nos cœurs ses tourments et sa fin.
3. Ainsi, Seigneur Jésus, ta dernière parole
Nous calme, nous instruit, nous touche, nous console ;
Tu montres à nos yeux dans ce saint sacrement,
De ton amour pour nous le plus beau monument.
4. Comme à nos corps le pain offre leur nourriture,
Ton corps rompu pour nous, manne céleste et pure,
Rend la force à notre âme et remplit notre cœur
Du consolant espoir d'un éternel bonheur.
5. Non contant de subir, pour racheter mon âme,
Une cruelle mort sur une croix infâme,
Des biens que tu promets aux élus dans les cieux,
Tu m'as laissé, Seigneur ce gage précieux.
6. Je viens le recevoir, cet ineffable gage ;
Je veux, brûlant de zèle, en faire un saint usage
Et, m'élevant à toi, Seigneur, pour te bénir,
Célébrer de ta mort le touchant souvenir.