236 L' Éternel fut toujours
1. L' Éternel fut toujours ma lumière et ma vie,
J'ai fondé mon espoir sur sa force infinie.
Qui pourrait donc me nuire et qu'ai-je à redouter ?
Le fragile mortel peut-il m'épouvanter ?
2. De ta grâce assuré, guidé par ta loi sainte,
Dans tes sentiers, Seigneur, je marcherai sans crainte.
Je sais que mes soupirs, vers les cieux élancés,
Par ta compassions son toujours exaucés.
3. Ta céleste parole en tous lieux me retrace
Cet ordre Paternel : Mon fils, chercher ma face.
Mon âme l'a compris ; je t'invoque, Seigneur,
Et mes vœux chaque jour m'attirent ta faveur.
4. Oui, quand j'aurais perdu tout espoir sur la terre,
Quand, accablé d'ennuis au fort de ma misère,
Je me verrais privé de tout secours humain,
Mon Dieu, pour me sauver, me prendrait par la main.
5. Si je n'eusse, grand Dieu, compté sur ta tendresse,
Sur l'appui que ton bras promet à ma faiblesse,
Oh ! mon âme accablée, après tant de travaux,
Sans doute eût succombé sous le poids de ses maux.
6. Mets loin de toi, mon cœur, si ton Dieu te rassure,
Les soucis dévorants, le coupable murmure !
Que l'espoir soit ta force et la foi ton trésor !
L' Éternel est ton Dieu ; que peux-tu craindre encore ?
J'ai fondé mon espoir sur sa force infinie.
Qui pourrait donc me nuire et qu'ai-je à redouter ?
Le fragile mortel peut-il m'épouvanter ?
2. De ta grâce assuré, guidé par ta loi sainte,
Dans tes sentiers, Seigneur, je marcherai sans crainte.
Je sais que mes soupirs, vers les cieux élancés,
Par ta compassions son toujours exaucés.
3. Ta céleste parole en tous lieux me retrace
Cet ordre Paternel : Mon fils, chercher ma face.
Mon âme l'a compris ; je t'invoque, Seigneur,
Et mes vœux chaque jour m'attirent ta faveur.
4. Oui, quand j'aurais perdu tout espoir sur la terre,
Quand, accablé d'ennuis au fort de ma misère,
Je me verrais privé de tout secours humain,
Mon Dieu, pour me sauver, me prendrait par la main.
5. Si je n'eusse, grand Dieu, compté sur ta tendresse,
Sur l'appui que ton bras promet à ma faiblesse,
Oh ! mon âme accablée, après tant de travaux,
Sans doute eût succombé sous le poids de ses maux.
6. Mets loin de toi, mon cœur, si ton Dieu te rassure,
Les soucis dévorants, le coupable murmure !
Que l'espoir soit ta force et la foi ton trésor !
L' Éternel est ton Dieu ; que peux-tu craindre encore ?