145 Ô que ton joug est facile !
1. Oh ! que ton joug est facile !
Oh ! combien j'aime ta loi !
Dieu saint, Dieu de l'Évangile,
Elle est toujours devant moi.
De mes pas c'est la lumière,
C'est le repos de mon cœur ;
Mais pour la voir tout entière,
Ouvre mes yeux, bon Sauveur !
2. Non, ta loi n'est point pénible
Pour quiconque est né toi ;
Toute victoire est possible
À qui combat avec foi.
Seigneur, dans ta forteresse
Aucun mal ne m'atteindra :
Si je tremble en ma faiblesse,
Ta droite me soutiendra.
3. D'un triste et rude esclavage
Affranchi par Jésus-Christ,
J'ai part à ton héritage,
Aux secours de ton Esprit.
Au lieu d'un maître sévère,
Prêt à juger, à punir,
Je sers le plus tendre Père,
Toujours prêt à me bénir.
4. Pour les sages de ce monde
Tous les trésors sont voilés,
Mais, dans ta bonté profonde,
Tu me les as révélés
Tu donnes l'intelligence
Au moindre de tes enfants ;
Ah ! de ce bienfait immense
Rends-nous donc reconnaissants !
5. Dieu qui guides, qui consoles,
J'ai connu que le bonheur
C'est de garder tes paroles,
Et je les serre en mon cœur.
Fais-moi marcher dans ta voie
Et me plaire en tes statuts
Si je cherche en toi ma joie,
Je ne serai pas confus.
Oh ! combien j'aime ta loi !
Dieu saint, Dieu de l'Évangile,
Elle est toujours devant moi.
De mes pas c'est la lumière,
C'est le repos de mon cœur ;
Mais pour la voir tout entière,
Ouvre mes yeux, bon Sauveur !
2. Non, ta loi n'est point pénible
Pour quiconque est né toi ;
Toute victoire est possible
À qui combat avec foi.
Seigneur, dans ta forteresse
Aucun mal ne m'atteindra :
Si je tremble en ma faiblesse,
Ta droite me soutiendra.
3. D'un triste et rude esclavage
Affranchi par Jésus-Christ,
J'ai part à ton héritage,
Aux secours de ton Esprit.
Au lieu d'un maître sévère,
Prêt à juger, à punir,
Je sers le plus tendre Père,
Toujours prêt à me bénir.
4. Pour les sages de ce monde
Tous les trésors sont voilés,
Mais, dans ta bonté profonde,
Tu me les as révélés
Tu donnes l'intelligence
Au moindre de tes enfants ;
Ah ! de ce bienfait immense
Rends-nous donc reconnaissants !
5. Dieu qui guides, qui consoles,
J'ai connu que le bonheur
C'est de garder tes paroles,
Et je les serre en mon cœur.
Fais-moi marcher dans ta voie
Et me plaire en tes statuts
Si je cherche en toi ma joie,
Je ne serai pas confus.