019 Bénis le Seigneur
1. Bénis le Seigneur, ô mon âme!
Bénis son saint nom chaque jour!
Élève tes chants et proclame
Les merveilles de son amour!
Tu lui dois tout: paix, espérance,
Pardon, justice, délivrance.
Oh! que lui donner en retour?
2. Au péché pauvre âme asservie,
Je secouais ma chaîne en vain.
Seul dans le désert de la vie,
Je m'égarais loin du chemin.
Bravant l'éternelle justice,
Je courais vers le précipice,
Quand mon Dieu m'arrêta soudain.
3. Jésus, mon Rédempteur fidèle,
Sur le gouffre où j'étais penché,
Me tendit sa main fraternelle:
À la mort je fus arraché;
Et sa grâce, effaçant mon crime,
A pour jamais fermé l'abîme
Où me conduisait le péché.
4. D'abord je compris ma misère
Et je tremblais devant sa loi:
Mais bientôt, Sauveur débonnaire,
Ton pardon calma mon effroi.
De ta paix je goûtai les charmes,
Et ta main essuya les larmes
Que je répandais devant toi.
5. Puissé-je vivre pour ta gloire,
Ô Christ, Rédempteur éternel!
Anges, célébrez sa victoire,
Réjouissez-vous dans le ciel,
Car un nouvel enfant prodigue,
Du monde oubliant la fatigue,
Rentre enfin au toit paternel!
Bénis son saint nom chaque jour!
Élève tes chants et proclame
Les merveilles de son amour!
Tu lui dois tout: paix, espérance,
Pardon, justice, délivrance.
Oh! que lui donner en retour?
2. Au péché pauvre âme asservie,
Je secouais ma chaîne en vain.
Seul dans le désert de la vie,
Je m'égarais loin du chemin.
Bravant l'éternelle justice,
Je courais vers le précipice,
Quand mon Dieu m'arrêta soudain.
3. Jésus, mon Rédempteur fidèle,
Sur le gouffre où j'étais penché,
Me tendit sa main fraternelle:
À la mort je fus arraché;
Et sa grâce, effaçant mon crime,
A pour jamais fermé l'abîme
Où me conduisait le péché.
4. D'abord je compris ma misère
Et je tremblais devant sa loi:
Mais bientôt, Sauveur débonnaire,
Ton pardon calma mon effroi.
De ta paix je goûtai les charmes,
Et ta main essuya les larmes
Que je répandais devant toi.
5. Puissé-je vivre pour ta gloire,
Ô Christ, Rédempteur éternel!
Anges, célébrez sa victoire,
Réjouissez-vous dans le ciel,
Car un nouvel enfant prodigue,
Du monde oubliant la fatigue,
Rentre enfin au toit paternel!