159 Fête sacrée, ouvre nos âmes
1. Fête sacrée, ouvre nos âmes
Aux doux transports que tu réclames
Des rachetés de Jéhovah.
Jour d'allégresse, heureuse grâce,
Réjouis-nous devant la face
Du Dieu d'amour qui nous sauva.
2. Espoir vivant de nos familles,
Fidèles, vos fils et vos filles,
Remplis d'une jeune ferveur,
Viennent confirmer dans ce temple,
Devant le Dieu qui les contemple,
Le serment d'être à leur Sauveur.
3. Ils ont, dans une âme touchée
Où l'eau de la grâce épanchée
Fit naître la fleur de la foi,
Reçu la doctrine féconde
Que le divin Sauveur du monde
Nous donnes à tous comme sa loi.
4. Caché dans ces vases d'argile,
Le saint parfum de l'Évangile
Se répand en flots précieux ;
En s'exhalant avec mystère ;
Son doux baume épure la terre ;
C'est l'air que l'on respire aux cieux.
5. Ô de leur foi source première,
Tu les frappas de ta lumière,
Brillante étoile du matin.
Que sur eux tes rayons s'étendent,
Signes des grâces qu'ils attendent
À l'heure sainte du festin !
6. Préparez-leur le pain des anges
Avec la coupe des louanges,
Sacrement divin de l'autel ;
Dieu, dont l'amour les environne,
Montre à leurs yeux cette couronne,
Parure d'un front immortel.
7. Pour que leur vie soit chrétienne,
Que ton bras, Seigneur, les soutienne
Et les conduise pas à pas !
Ordonne aux anges de ta droite
De leur marquer la voie étroite,
Et fais qu'ils ne s'y heurtent pas.
8. Oui, parle et que, pour eux plus douce,
L'épine de la vie émousse
La pointe amère de ses dards !
Parle et que leur troupe fidèle
Sente respirer autour d'elle
La paix de tes doux étendards !
9. Éloigne de leur jeune vie,
À tes seuls décrets asservie,
L'ennemi dont tu les défends ;
Qu'ils trompent son noir artifice !
C'est le prix de ton sacrifice ;
Ils sont ton bien et tes enfants.
10. Touchés de la grâce, ils soupirent
Après tes autels ; ils n'aspirent
Qu'aux privilèges des chrétiens.
Et qu'à s'approcher de la table
Où du ciel le pain véritable
Se distribue entre les tiens.
11. Ta faveur sur eux se déploie,
L' Église en tressaille de joie,
Ils verront combler leur espoir.
Au gré des souhaits que vous fîtes,
Nos rangs, bien-aimés néophytes,
Vont s'ouvrir pour vous recevoir.
12. Le voici, l'instant qui vous lie ;
Oh ! que votre cœur s'humilie
Lorsqu'à votre Dieu vous criez !
Chrétiens, parents, que vos prières
Des cieux franchissent les barrières !
Priez pour eux, parents, priez !
Aux doux transports que tu réclames
Des rachetés de Jéhovah.
Jour d'allégresse, heureuse grâce,
Réjouis-nous devant la face
Du Dieu d'amour qui nous sauva.
2. Espoir vivant de nos familles,
Fidèles, vos fils et vos filles,
Remplis d'une jeune ferveur,
Viennent confirmer dans ce temple,
Devant le Dieu qui les contemple,
Le serment d'être à leur Sauveur.
3. Ils ont, dans une âme touchée
Où l'eau de la grâce épanchée
Fit naître la fleur de la foi,
Reçu la doctrine féconde
Que le divin Sauveur du monde
Nous donnes à tous comme sa loi.
4. Caché dans ces vases d'argile,
Le saint parfum de l'Évangile
Se répand en flots précieux ;
En s'exhalant avec mystère ;
Son doux baume épure la terre ;
C'est l'air que l'on respire aux cieux.
5. Ô de leur foi source première,
Tu les frappas de ta lumière,
Brillante étoile du matin.
Que sur eux tes rayons s'étendent,
Signes des grâces qu'ils attendent
À l'heure sainte du festin !
6. Préparez-leur le pain des anges
Avec la coupe des louanges,
Sacrement divin de l'autel ;
Dieu, dont l'amour les environne,
Montre à leurs yeux cette couronne,
Parure d'un front immortel.
7. Pour que leur vie soit chrétienne,
Que ton bras, Seigneur, les soutienne
Et les conduise pas à pas !
Ordonne aux anges de ta droite
De leur marquer la voie étroite,
Et fais qu'ils ne s'y heurtent pas.
8. Oui, parle et que, pour eux plus douce,
L'épine de la vie émousse
La pointe amère de ses dards !
Parle et que leur troupe fidèle
Sente respirer autour d'elle
La paix de tes doux étendards !
9. Éloigne de leur jeune vie,
À tes seuls décrets asservie,
L'ennemi dont tu les défends ;
Qu'ils trompent son noir artifice !
C'est le prix de ton sacrifice ;
Ils sont ton bien et tes enfants.
10. Touchés de la grâce, ils soupirent
Après tes autels ; ils n'aspirent
Qu'aux privilèges des chrétiens.
Et qu'à s'approcher de la table
Où du ciel le pain véritable
Se distribue entre les tiens.
11. Ta faveur sur eux se déploie,
L' Église en tressaille de joie,
Ils verront combler leur espoir.
Au gré des souhaits que vous fîtes,
Nos rangs, bien-aimés néophytes,
Vont s'ouvrir pour vous recevoir.
12. Le voici, l'instant qui vous lie ;
Oh ! que votre cœur s'humilie
Lorsqu'à votre Dieu vous criez !
Chrétiens, parents, que vos prières
Des cieux franchissent les barrières !
Priez pour eux, parents, priez !