165 Jésus, Sauveur adorable
1. Jésus, Sauveur adorable,
Tu m'invites à ta table ;
Plein d'amour, plein de tendresse,
Tu veux calmer ma détresse.
Pour me relever toi-même,
Divin Fils du Dieu suprême,
Tu m'offres, dans ta clémence,
Le pardon de mon offense.
2. Seigneur, je me sais indigne
D'une bonté si insigne ;
Ton corps est la nourriture
Qu'en raison de ma souillure,
Tu m'offres à cette table.
Ô Rédempteur charitable
Fais moi grâce et me pardonne !
À toi seul je m'abandonne.
3. Le vin dans le saint calice
Est le sang du sacrifice,
Que pour effacer mon crime,
Tu versas, sainte victime.
Qu'il lave l'âme accablée
Du péché qui l'a souillée !
À toi va, Dieu de clémence,
Toute ma reconnaissance.
4. À tes pieds, Sauveur fidèle,
En ce jour je renouvelle
L'alliance qui m'assure
La félicité future.
De cette faveur insigne,
Hélas ! je ne suis pas digne.
Daigne, selon ta promesse,
Subvenir à ma faiblesse.
5. Seigneur que ma repentance
Trouve grâce en ta présence !
Fais que ce repas de vie
Dans la foi me fortifie.
Dans mon âme, dès cette heure,
Ah ! viens faire ta demeure ;
Désormais elle n'aspire
Qu'à vivre sous ton emprise.
Tu m'invites à ta table ;
Plein d'amour, plein de tendresse,
Tu veux calmer ma détresse.
Pour me relever toi-même,
Divin Fils du Dieu suprême,
Tu m'offres, dans ta clémence,
Le pardon de mon offense.
2. Seigneur, je me sais indigne
D'une bonté si insigne ;
Ton corps est la nourriture
Qu'en raison de ma souillure,
Tu m'offres à cette table.
Ô Rédempteur charitable
Fais moi grâce et me pardonne !
À toi seul je m'abandonne.
3. Le vin dans le saint calice
Est le sang du sacrifice,
Que pour effacer mon crime,
Tu versas, sainte victime.
Qu'il lave l'âme accablée
Du péché qui l'a souillée !
À toi va, Dieu de clémence,
Toute ma reconnaissance.
4. À tes pieds, Sauveur fidèle,
En ce jour je renouvelle
L'alliance qui m'assure
La félicité future.
De cette faveur insigne,
Hélas ! je ne suis pas digne.
Daigne, selon ta promesse,
Subvenir à ma faiblesse.
5. Seigneur que ma repentance
Trouve grâce en ta présence !
Fais que ce repas de vie
Dans la foi me fortifie.
Dans mon âme, dès cette heure,
Ah ! viens faire ta demeure ;
Désormais elle n'aspire
Qu'à vivre sous ton emprise.