075 Jésus, ô nom qui surpasse
1. Jésus, ô nom qui surpasse
Tout nom qu'on puisse exalter,
Que jamais je ne me lasse,
Nom béni de te chanter !
Seule clarté qui rayonne
Sur les gloires du Saint lieu,
Seul nom dont l'écho résonne
Dans le cœur même de Dieu.
2. Jésus c'est l'amour suprême
De son trône descendu,
Qui ceint de son diadème
Le front de l'homme perdu.
C'est le Roi qui s'humilie
Pour vaincre le révolté,
C'est la divine folie
Dans la divine bonté.
3. Qui pleura sur ceux qui pleurent?
C'est lui, l'homme méprisé !
Qui mourut pour ceux qui meurent?
C'est lui l'homme au cœur brisé !
De son sang et de ses larmes
Il arrosa son chemin,
Et c'est par ces seules armes
Qu'il sauva le genre humain.
4. Jésus par qui Dieu pardonne,
Roi d'épines couronné;
Que le monde t'abandonne,
À toi mon cœur s'est donné !
Ta mort est ma délivrance,
Je suis heureux sous ta loi;
Ô Jésus mon espérance,
Quel autre aurais-je que toi?
5. Oh ! penche-toi sur ma couche
Lorsque je devrai mourir,
Et ton doux nom sur la bouche,
Je verrai le s'ouvrir...
Mais le ciel que je réclame,
C'est ton regard, c'est ta voix,
Qui s'abaissent sur mon âme,
Assise au pied de ta croix !
Tout nom qu'on puisse exalter,
Que jamais je ne me lasse,
Nom béni de te chanter !
Seule clarté qui rayonne
Sur les gloires du Saint lieu,
Seul nom dont l'écho résonne
Dans le cœur même de Dieu.
2. Jésus c'est l'amour suprême
De son trône descendu,
Qui ceint de son diadème
Le front de l'homme perdu.
C'est le Roi qui s'humilie
Pour vaincre le révolté,
C'est la divine folie
Dans la divine bonté.
3. Qui pleura sur ceux qui pleurent?
C'est lui, l'homme méprisé !
Qui mourut pour ceux qui meurent?
C'est lui l'homme au cœur brisé !
De son sang et de ses larmes
Il arrosa son chemin,
Et c'est par ces seules armes
Qu'il sauva le genre humain.
4. Jésus par qui Dieu pardonne,
Roi d'épines couronné;
Que le monde t'abandonne,
À toi mon cœur s'est donné !
Ta mort est ma délivrance,
Je suis heureux sous ta loi;
Ô Jésus mon espérance,
Quel autre aurais-je que toi?
5. Oh ! penche-toi sur ma couche
Lorsque je devrai mourir,
Et ton doux nom sur la bouche,
Je verrai le s'ouvrir...
Mais le ciel que je réclame,
C'est ton regard, c'est ta voix,
Qui s'abaissent sur mon âme,
Assise au pied de ta croix !