325 Jérusalem ! Cité sainte et bénie
1. Jérusalem ! Cité sainte et bénie,
Demeure de mon Roi,
Mon cœur s'élance au pays de la vie,
Jérusalem, vers Toi,
Au-delà des campagnes,
Des plaines, de vallons,
Vers les saintes montagnes
Aux divins horizons.
2. Plus de combats ! La lutte est terminée ;
Plus de cri de terreur !
Car la victoire en nos mains est donnée
Par le triomphateur.
Plus de fatigue amère
Plus d'épuisants travaux...
Mais près d'un tendre Père
Un céleste repos.
3. De mon Sauveur l'adorable présence
Éclaire ce séjour.
Sans Lui, les cieux, dans leur splendeur immense,
Seraient privé d'amour.
Sans Lui, mon bien suprême,
Mon Refuge et mon Roi,
Oh ! sans Lui, le ciel même
Serait vide pour moi.
4. Jérusalem ! ô royaume invisible,
Je regarde vers toi,
Cherchant des yeux la demeure paisible
Qu' Il prépare pour moi.
Qu'en une humble assurance
J'attende avec ferveur,
Et sainte patience
Le moment du Seigneur !
Demeure de mon Roi,
Mon cœur s'élance au pays de la vie,
Jérusalem, vers Toi,
Au-delà des campagnes,
Des plaines, de vallons,
Vers les saintes montagnes
Aux divins horizons.
2. Plus de combats ! La lutte est terminée ;
Plus de cri de terreur !
Car la victoire en nos mains est donnée
Par le triomphateur.
Plus de fatigue amère
Plus d'épuisants travaux...
Mais près d'un tendre Père
Un céleste repos.
3. De mon Sauveur l'adorable présence
Éclaire ce séjour.
Sans Lui, les cieux, dans leur splendeur immense,
Seraient privé d'amour.
Sans Lui, mon bien suprême,
Mon Refuge et mon Roi,
Oh ! sans Lui, le ciel même
Serait vide pour moi.
4. Jérusalem ! ô royaume invisible,
Je regarde vers toi,
Cherchant des yeux la demeure paisible
Qu' Il prépare pour moi.
Qu'en une humble assurance
J'attende avec ferveur,
Et sainte patience
Le moment du Seigneur !