329 Sainte Sion, ô patrie éternelle
1. Sainte Sion, ô patrie éternelle
Palais sacré qu'habite le grand Roi,
Où doit sans fin régner l'âme fidèle,
Quoi de plus doux que de penser à Toi ?
2. Dans tes parvis tout n'est plus qu'allégresse,
C'est un torrent des plus chastes plaisirs ;
On ne ressent ni peine ni tristesse,
On ne connaît ni plaintes ni soupirs.
3. Les habitants ne craignent plus d'orage,
Ils sont au port, ils y sont pour jamais,
Un calme entier devient leur doux partage,
Dieu dans leur cœur verse un fleuve de paix.
4. De quel éclat Jésus les environne !
Ah ! je les vois tout brillants de clarté.
Rien ne saurait y flétrir leur couronne ;
Leur vêtement est l'immortalité.
5. Pour les élus il n'est plus d'inconstance,
Tout est soumis au joug du saint amour,
L'affreux péché n'a plus là de puissance,
Tout béni Dieu dans cet heureux séjour.
6. Ô mon Sauveur qui, par ton sacrifice,
Pour tout croyant ouvris ces nouveaux cieux,
Viens, couvre-moi de ta sainte justice
Et vers Sion élève tous mes vœux.
Palais sacré qu'habite le grand Roi,
Où doit sans fin régner l'âme fidèle,
Quoi de plus doux que de penser à Toi ?
2. Dans tes parvis tout n'est plus qu'allégresse,
C'est un torrent des plus chastes plaisirs ;
On ne ressent ni peine ni tristesse,
On ne connaît ni plaintes ni soupirs.
3. Les habitants ne craignent plus d'orage,
Ils sont au port, ils y sont pour jamais,
Un calme entier devient leur doux partage,
Dieu dans leur cœur verse un fleuve de paix.
4. De quel éclat Jésus les environne !
Ah ! je les vois tout brillants de clarté.
Rien ne saurait y flétrir leur couronne ;
Leur vêtement est l'immortalité.
5. Pour les élus il n'est plus d'inconstance,
Tout est soumis au joug du saint amour,
L'affreux péché n'a plus là de puissance,
Tout béni Dieu dans cet heureux séjour.
6. Ô mon Sauveur qui, par ton sacrifice,
Pour tout croyant ouvris ces nouveaux cieux,
Viens, couvre-moi de ta sainte justice
Et vers Sion élève tous mes vœux.