271 Ô charité céleste et sainte
1. Ô charité céleste et sainte,
Ce n'est qu'en Christ qu'on te connaît !
De nos cœur Tu bannis la crainte,
Dans ta douceur l'homme renaît.
Loin de Jésus jadis notre âme
Méconnaissait ce doux accord ;
Du monde alors l'impure flamme
Seule éveillait notre transport.
2. Mais, ô Seigneur, quand ta tendresse
Nous enrichit de ton pardon,
À notre cœur plein d'allégresse
Tu fis goûter ce nouveau don.
Si, depuis lors, notre faux zèle
A relâché le nœud d'amour,
Oh ! viens encore, Sauveur fidèle,
Le resserrer de jour en jour.
3. Ne permets plus que nos misères
Interrompent ces saints transports ;
Qu'en un faisceau Tu nous resserres
Pour ne former en Toi qu'un corps !
Bannis de nous l'aigreur, l'envie,
La médisance et la froideur ;
Répands sur nous l'Esprit de vie,
De foi, d'amour et de ferveur.
4. Que nous puissions vivre sans cesse
Dans cette amour qui nous unit !
Qu'il soit la part et la richesse
De ce troupeau, qui t'en bénit !
Exauce, ô Dieu, notre prière,
Viens nous unir à notre Époux.
Nous t'en prions, ô tendre Père,
Dans l'unité consomme-nous.
Ce n'est qu'en Christ qu'on te connaît !
De nos cœur Tu bannis la crainte,
Dans ta douceur l'homme renaît.
Loin de Jésus jadis notre âme
Méconnaissait ce doux accord ;
Du monde alors l'impure flamme
Seule éveillait notre transport.
2. Mais, ô Seigneur, quand ta tendresse
Nous enrichit de ton pardon,
À notre cœur plein d'allégresse
Tu fis goûter ce nouveau don.
Si, depuis lors, notre faux zèle
A relâché le nœud d'amour,
Oh ! viens encore, Sauveur fidèle,
Le resserrer de jour en jour.
3. Ne permets plus que nos misères
Interrompent ces saints transports ;
Qu'en un faisceau Tu nous resserres
Pour ne former en Toi qu'un corps !
Bannis de nous l'aigreur, l'envie,
La médisance et la froideur ;
Répands sur nous l'Esprit de vie,
De foi, d'amour et de ferveur.
4. Que nous puissions vivre sans cesse
Dans cette amour qui nous unit !
Qu'il soit la part et la richesse
De ce troupeau, qui t'en bénit !
Exauce, ô Dieu, notre prière,
Viens nous unir à notre Époux.
Nous t'en prions, ô tendre Père,
Dans l'unité consomme-nous.