273 Tu nous aimes, Seigneur
1. Tu nous aimes, Seigneur, comme Dieu, comme Père ;
Ton amour Tout-Puissant couvre notre misère
Et soutient notre faible cœur.
Tu l'as offert, Seigneur, le sang qui purifie ;
Oui, par amour pour nous Tu quittas cette vie,
Que par amour Tu pris, Seigneur.
2. Et près de la quitter, à cette heure suprême,
Tu nous dis : « Aimez-vous comme Moi je vous aime,
Et qui peut aimer plus que Moi !
Aimez-vous ! c'est la loi qu'en partant je vous laisse. »
Aimons-nous qu'à ceci le monde reconnaisse
Si vraiment nous sommes à Toi.
3. Et serions-nous à Toi, si ta main Paternelle
N'eût mis en nous les traits de cet amour fidèle,
Doux, secourable, patient ?
Rapporter tout à soi, chercher sa propre gloire,
D'une injure, d'un tort conserver la mémoire,
Est-ce bien être ton enfant ?
4. Bannis de nos discours les flatteuses paroles,
Et la feinte amitié de ces hommes frivoles
Qui ne peuvent aimer qu'un jour.
C'est pour le ciel qu'ici les frères se préparent ;
Apprends-nous à montrer aux âmes qui s'égarent,
Par notre zèle notre amour.
5. Ô Seigneur ! qu'il est doux, qu'il est bon pour des frères
De t'offrir en commun leurs vœux et leurs prières,
Et de travailler réunis ;
De s'aider au combat, de partager leurs joies,
Et de marcher ensemble en ces paisibles voies
Où Tu diriges et bénis.
6. Seigneur ! que ton Esprit nous exauce et nous lie ;
Que membre de ton corps et vivant de ta vie,
Nous soyons tous plantés en Toi !
Oh ! chasse loin de nous la discorde et l'outrage !
Que nous soyons de Christ comme étant son ouvrage,
Nous aimant dans la même foi !
Ton amour Tout-Puissant couvre notre misère
Et soutient notre faible cœur.
Tu l'as offert, Seigneur, le sang qui purifie ;
Oui, par amour pour nous Tu quittas cette vie,
Que par amour Tu pris, Seigneur.
2. Et près de la quitter, à cette heure suprême,
Tu nous dis : « Aimez-vous comme Moi je vous aime,
Et qui peut aimer plus que Moi !
Aimez-vous ! c'est la loi qu'en partant je vous laisse. »
Aimons-nous qu'à ceci le monde reconnaisse
Si vraiment nous sommes à Toi.
3. Et serions-nous à Toi, si ta main Paternelle
N'eût mis en nous les traits de cet amour fidèle,
Doux, secourable, patient ?
Rapporter tout à soi, chercher sa propre gloire,
D'une injure, d'un tort conserver la mémoire,
Est-ce bien être ton enfant ?
4. Bannis de nos discours les flatteuses paroles,
Et la feinte amitié de ces hommes frivoles
Qui ne peuvent aimer qu'un jour.
C'est pour le ciel qu'ici les frères se préparent ;
Apprends-nous à montrer aux âmes qui s'égarent,
Par notre zèle notre amour.
5. Ô Seigneur ! qu'il est doux, qu'il est bon pour des frères
De t'offrir en commun leurs vœux et leurs prières,
Et de travailler réunis ;
De s'aider au combat, de partager leurs joies,
Et de marcher ensemble en ces paisibles voies
Où Tu diriges et bénis.
6. Seigneur ! que ton Esprit nous exauce et nous lie ;
Que membre de ton corps et vivant de ta vie,
Nous soyons tous plantés en Toi !
Oh ! chasse loin de nous la discorde et l'outrage !
Que nous soyons de Christ comme étant son ouvrage,
Nous aimant dans la même foi !