217 Heureux celui de qui Dieu (Psaume 32)
1. Heureux celui de qui Dieu par sa grâce
Et les erreurs et les fautes efface,
Heureux celui de qui tous les péchés
Devant son Dieu sont couverts et cachés,
Enfin heureux cent et cent fois j'estime
L'homme à qui Dieu n'impute point son crime
ET qui, parmi les faiblesses qu'il sent,
De toute fraude au moins est innocent.
2. Quand, les maux qu'attirait mon offense,
Trop obstiné, j'ai gardé le silence,
Quand de douleur j'ai crié sans cesser,
Mes os n'ont fait que fondre et s'abaisser.
J'ai tous les jours senti ta main puissante
Sur moi, Seigneur, se rendre plus pesante ;
Mon corps s'est vu, dans cette extrémité,
Plus sec qu'un champ dans l'ardeur de l'été.
3. Mais aussitôt que sans hypocrisie
J'ai déploré les fautes de ma vie,
Dès que j'ai dit : Confessons mon forfait,
De ton pardon j'ai ressenti l'effet
Ainsi celui que ton amour éprouve,
Te cherchera dans le temps qu'on te trouve,
Les grandes eaux peuvent bien déborder :
De tout péril ta main sait le garder.
4. En toi, Seigneur, je trouve un sûr asile,
Rien ne m'alarme et mon âme est tranquille,
Et chaque jour j'ai de nouveaux sujets
De te louer du bien que tu me fais.
Venez à moi, mortels, venez apprendre
Le droit chemin qu'en ce monde on doit prendre.
En me suivant vous ne broncherez pas ;
Je prendrai soin de conduire vos pas.
5. Ne soyez point à ces chevaux semblables,
Qui sont si fiers qu'ils semblent indomptables ;
Pour réprimer leurs fougues et leurs efforts,
L'art inventa des brides et des mors.
L'homme endurci sera dompté de même
Par les rigueurs d'un châtiment extrême.
Mais si quelqu'un prend Dieu pour son soutien,
Dieu le protège et le comble de bien.
Et les erreurs et les fautes efface,
Heureux celui de qui tous les péchés
Devant son Dieu sont couverts et cachés,
Enfin heureux cent et cent fois j'estime
L'homme à qui Dieu n'impute point son crime
ET qui, parmi les faiblesses qu'il sent,
De toute fraude au moins est innocent.
2. Quand, les maux qu'attirait mon offense,
Trop obstiné, j'ai gardé le silence,
Quand de douleur j'ai crié sans cesser,
Mes os n'ont fait que fondre et s'abaisser.
J'ai tous les jours senti ta main puissante
Sur moi, Seigneur, se rendre plus pesante ;
Mon corps s'est vu, dans cette extrémité,
Plus sec qu'un champ dans l'ardeur de l'été.
3. Mais aussitôt que sans hypocrisie
J'ai déploré les fautes de ma vie,
Dès que j'ai dit : Confessons mon forfait,
De ton pardon j'ai ressenti l'effet
Ainsi celui que ton amour éprouve,
Te cherchera dans le temps qu'on te trouve,
Les grandes eaux peuvent bien déborder :
De tout péril ta main sait le garder.
4. En toi, Seigneur, je trouve un sûr asile,
Rien ne m'alarme et mon âme est tranquille,
Et chaque jour j'ai de nouveaux sujets
De te louer du bien que tu me fais.
Venez à moi, mortels, venez apprendre
Le droit chemin qu'en ce monde on doit prendre.
En me suivant vous ne broncherez pas ;
Je prendrai soin de conduire vos pas.
5. Ne soyez point à ces chevaux semblables,
Qui sont si fiers qu'ils semblent indomptables ;
Pour réprimer leurs fougues et leurs efforts,
L'art inventa des brides et des mors.
L'homme endurci sera dompté de même
Par les rigueurs d'un châtiment extrême.
Mais si quelqu'un prend Dieu pour son soutien,
Dieu le protège et le comble de bien.