327 Lorsque de ma dernière aurore
1. Lorsque de ma dernière aurore
Je vois s'éteindre le flambeau,
Un soleil divin luit encore
À l'autre bord de mon tombeau.
Jésus veut m'être favorable.
Viens donc, ô Sauveur adorable,
Me rassurer, me consoler.
Entends ma dernière prière,
Environne de ta lumière
Mon âme prête à s'envoler.
2. De tes délices Éternels
Tu veux rassasier, Seigneur
Tous tes élus, tous tes fidèles
Qui t'avaient consacré leur cœur.
Tandis que la tempête gronde,
Le chrétien qui sur Toi se fonde,
Se rassure à l'aspect du port.
Tranquille, il t'invoque, il te prie,
Et dans la céleste patrie
Il entre sans craindre la mort.
3. C'est là que du bonheur suprême,
Il va s'abreuver à longs traits ;
Les sources en sont en Toi-même,
Peuvent-elles tarir jamais ?
C'est là, grand Dieu, que ta justice,
À tes enfants toujours propice,
Accomplit leur félicité ;
Là, jouissant de leur victoire,
Ils chantent à jamais ta gloire
Et ton ineffable bonté.
Je vois s'éteindre le flambeau,
Un soleil divin luit encore
À l'autre bord de mon tombeau.
Jésus veut m'être favorable.
Viens donc, ô Sauveur adorable,
Me rassurer, me consoler.
Entends ma dernière prière,
Environne de ta lumière
Mon âme prête à s'envoler.
2. De tes délices Éternels
Tu veux rassasier, Seigneur
Tous tes élus, tous tes fidèles
Qui t'avaient consacré leur cœur.
Tandis que la tempête gronde,
Le chrétien qui sur Toi se fonde,
Se rassure à l'aspect du port.
Tranquille, il t'invoque, il te prie,
Et dans la céleste patrie
Il entre sans craindre la mort.
3. C'est là que du bonheur suprême,
Il va s'abreuver à longs traits ;
Les sources en sont en Toi-même,
Peuvent-elles tarir jamais ?
C'est là, grand Dieu, que ta justice,
À tes enfants toujours propice,
Accomplit leur félicité ;
Là, jouissant de leur victoire,
Ils chantent à jamais ta gloire
Et ton ineffable bonté.