243 C'est moi, c'est moi qui vous console
243. C'est moi, c'est moi qui vous console
1. C'est moi, c'est moi qui vous console,
A dit l'Éternel aux pécheurs.
Frères, croyons à la Parole
Qu' Il adresse à nos pauvres cœurs.
Il veut verser sur nos blessures
L'huile et le vin de son amour,
Et sur ses pauvres créatures
Faire lever un nouveau jour.
2. La paix dont le Seigneur inonde
Les âmes de ses serviteurs,
N'est pas la paix d'un triste monde
Dont le rire est mêlé de pleurs.
La paix dont Il dit : « Je la donne ! »
Subsiste dans les jours mauvais ;
C'est une immortelle couronne
Que rien ne flétrit : C'est sa paix !
3. Sa paix ! Sais-tu ce qu'il en coûte
Au Fils de Dieu pour te l'offrir ?
Sais-tu par quelle sombre route
Il passa pour te secourir ?
Quittant la céleste demeure,
Sais-tu ce que le Roi des rois
Pour nous a souffert d'heure en heure,
De la crèche jusqu'à la croix ?
4. Va le demander au Calvaire,
Où le rejeton d'Isaïe
Reçut le terrible salaire
Des contempteurs du Sinaï.
Jésus a vidé la Calice,
Dieu tout-puissant pour t'apaiser
En lui la paix et la justice
S'unissent dans un saint baiser.
5. Que la paix coule comme un fleuve
Qui porte au loin ses grandes eaux.
Et que mon âme s'en abreuve
Comme un agneau près des ruisseaux.
Du haut de ta sainte montagne
Répands-la selon nos souhaits,
Et que ton Esprit l'accompagne,
Roi de Salem, Prince de paix !
1. C'est moi, c'est moi qui vous console,
A dit l'Éternel aux pécheurs.
Frères, croyons à la Parole
Qu' Il adresse à nos pauvres cœurs.
Il veut verser sur nos blessures
L'huile et le vin de son amour,
Et sur ses pauvres créatures
Faire lever un nouveau jour.
2. La paix dont le Seigneur inonde
Les âmes de ses serviteurs,
N'est pas la paix d'un triste monde
Dont le rire est mêlé de pleurs.
La paix dont Il dit : « Je la donne ! »
Subsiste dans les jours mauvais ;
C'est une immortelle couronne
Que rien ne flétrit : C'est sa paix !
3. Sa paix ! Sais-tu ce qu'il en coûte
Au Fils de Dieu pour te l'offrir ?
Sais-tu par quelle sombre route
Il passa pour te secourir ?
Quittant la céleste demeure,
Sais-tu ce que le Roi des rois
Pour nous a souffert d'heure en heure,
De la crèche jusqu'à la croix ?
4. Va le demander au Calvaire,
Où le rejeton d'Isaïe
Reçut le terrible salaire
Des contempteurs du Sinaï.
Jésus a vidé la Calice,
Dieu tout-puissant pour t'apaiser
En lui la paix et la justice
S'unissent dans un saint baiser.
5. Que la paix coule comme un fleuve
Qui porte au loin ses grandes eaux.
Et que mon âme s'en abreuve
Comme un agneau près des ruisseaux.
Du haut de ta sainte montagne
Répands-la selon nos souhaits,
Et que ton Esprit l'accompagne,
Roi de Salem, Prince de paix !