326 La mort est inévitable
1. La mort est inévitable,
Son empire est souverain ;
L'homme est à l'herbe semblable
Qu'on voit se flétrir soudain :
Sans être réduite en cendre,
La chair ne saurait prétendre
Avoir la félicité
De la divine cité.
2. Payant donc à la nature
Ce tribut universel,
J'obéirai sans murmure
Aux ordres de l'Éternel
Invoquant Jésus, mon Maître,
Je sais que je dois renaître.
Sa mort, contraire à ma mort,
En rompt la pointe et l'effort.
3. Ce Sauveur par sa victoire
M'est du salut le garant ;
Je partagerai sa gloire
Un jour en ressuscitant.
Rempli de cette espérance,
De ce monde je m'élance,
Pour occuper à jamais
Les demeures de la paix.
4. Ô bonheur digne d'envie
Qui surpassera mes vœux !
Là, d'une joie accomplie,
Jouissent les bienheureux,
Là, des séraphins, des anges
Offrant à Dieu leurs louanges,
S'entend le chant solennel :
Saint, Saint, Saint est l'Éternel !
5. Jérusalem, cité sainte,
Séjour de l'éternité.
On ne trouve en ton enceinte
Que joie et félicité :
Ton calme est inaltérable,
Ta paix constante et durable,
Et de ton soleil divin
La splendeur sera sans fin.
6. Fais-moi part de cette gloire,
Mon Sauveur, après ma mort ;
Donne à ma foi la victoire,
Conduis mon âme à son port ;
Et par ta bonté propice
Revêts-moi de ta justice
Qui me fasse ouvrir les cieux,
Quand je quitterai ces lieux.
Son empire est souverain ;
L'homme est à l'herbe semblable
Qu'on voit se flétrir soudain :
Sans être réduite en cendre,
La chair ne saurait prétendre
Avoir la félicité
De la divine cité.
2. Payant donc à la nature
Ce tribut universel,
J'obéirai sans murmure
Aux ordres de l'Éternel
Invoquant Jésus, mon Maître,
Je sais que je dois renaître.
Sa mort, contraire à ma mort,
En rompt la pointe et l'effort.
3. Ce Sauveur par sa victoire
M'est du salut le garant ;
Je partagerai sa gloire
Un jour en ressuscitant.
Rempli de cette espérance,
De ce monde je m'élance,
Pour occuper à jamais
Les demeures de la paix.
4. Ô bonheur digne d'envie
Qui surpassera mes vœux !
Là, d'une joie accomplie,
Jouissent les bienheureux,
Là, des séraphins, des anges
Offrant à Dieu leurs louanges,
S'entend le chant solennel :
Saint, Saint, Saint est l'Éternel !
5. Jérusalem, cité sainte,
Séjour de l'éternité.
On ne trouve en ton enceinte
Que joie et félicité :
Ton calme est inaltérable,
Ta paix constante et durable,
Et de ton soleil divin
La splendeur sera sans fin.
6. Fais-moi part de cette gloire,
Mon Sauveur, après ma mort ;
Donne à ma foi la victoire,
Conduis mon âme à son port ;
Et par ta bonté propice
Revêts-moi de ta justice
Qui me fasse ouvrir les cieux,
Quand je quitterai ces lieux.